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Changement climatique, canicules, sécheresses, pollution de l’air, déchets, érosion de la biodiversité, épuisement des ressources… la crise écologique dégrade la santé et les conditions de vie des Clermontois. Elle compromet l’avenir de la ville ; elle détruit son habitabilité, elle fragilise son tissu économique, elle menace sa stabilité sociale. 

Mais le pire n’est jamais certain. La nécessité de changer de politique et d’engager la ville dans la transition écologique offre une chance formidable : celle de devenir une ville verte, libérée du béton et du bitume, des pollutions et du mal vivre. Avec la nature comme carte de visite, avec l’écologie comme nouveau système urbain, Clermont-Ferrand se métamorphosera en ville où on a envie de vivre et de s’installer. 

Cela implique de réorienter radicalement les politiques publiques locales, au-delà des proclamations ou des aménagements paysagers à la marge. Nous proposons d’engager la ville sur la trajectoire de la transition écologique, reposant sur un écosystème naturel. Une transition inclusive socialement, porteuse de nouvelles activités économiques et ouvrant sur un avenir désirable. Rien n’est plus urgent ! 

LES MESURES-CLÉS

  • Une coulée verte au centre-ville et des « salons de verdure » dans tous les quartiers
  • Façades, toits et trottoirs végétalisés
  • Un Conseil Citoyen Environnemental
  • Rénovation thermique des bâtiments et des logements
  • Développement de la production d’énergies renouvelables
  • La nature dans la ville
  • Assises citoyennes pour la réduction des déchets
  • Repas bio, circuits courts et menu végétarien quotidien dans les cantines

NOS PROPOSITIONS

UN PLAN DE VÉGÉTALISATION MASSIVE DE LA VILLE

Les arbres et le végétal ne sont pas une régression. La nature en ville constitue au contraire la solution à beaucoup de nos maux : stockage de l’eau et des émissions de gaz à effet de serre, rafraîchissement des températures, épuration de l’air, protection de la santé, amélioration de la biodiversité, vecteur de sociabilité….

➡ Une coulée verte emblématique

Au cœur de la ville, sur un tracé allant de la place des Salins à la place Delille en passant par les places de Jaude et Gaillard, une « coulée verte » multipliera les aménagements paysagers afin de transformer le centre-ville en rivière végétale. Objectifs : mettre des arbres, des bosquets, des pelouses, des fleurs, des fontaines sur des espaces ultra-minéralisés, présenter un cadre de vie où il fera bon déambuler et se rencontrer, offrir un espace favorable à la faune et à la flore, en même temps qu’établir un corridor écologique pour améliorer la qualité de l’air, lutter contre les îlots de chaleur provoqués par le bitume et le béton, capter les gaz à effet de serre.

La réalisation de ce projet majeur sera attribuée à l’issue d’un concours international d’architectes-paysagers ouvert aux entreprises locales. Le choix définitif sera confié à un jury citoyen. 

Une coulée verte emblématique modifiera l’image de Clermont-Ferrand, dopera son attractivité et viendra compléter le classement UNESCO de la chaîne des Puys et de la faille de la Limagne.

➡ Planter 10 000 arbres

10 000 arbres seront plantés sur tout le territoire de la commune en faisant appel à différentes espèces adaptées à résister au réchauffement climatique. Une charte d’aménagement de l’espace public fixera la place à donner aux arbres dans la ville, leur entretien et les aménagements à prévoir afin qu’ils puissent se développer tout en étant compatibles avec la présence de nombreux réseaux enterrés. Le choix d’espèces locales sera privilégié.

➡ Un salon de verdure par quartier

Chaque quartier de la ville disposera à minima d’un espace vert de type square, à la fois lieu de détente et de promenade, intégrant terrains de jeux pour les jeunes et aires de pique-nique, nichoirs et abris pour les oiseaux. Lieux d’échanges et de rencontres, ces salons de verdure auront pour vocation d’embellir les quartiers, de rompre l’isolement, de renforcer les liens sociaux, d’offrir un point fraîcheur convivial en période estivale, d’entretenir et de protéger la biodiversité. 

Leurs implantations seront décidées en participation avec les habitants du quartier.

➡ Un espace biodiversité à Montjuzet

L’accessibilité du parc Montjuzet sera améliorée et, pour les enfants, nous introduirons dans ce parc un vaste espace ludique et pédagogique sur la biodiversité.

➡ Végétalisation des bâtiments et des toitures

Les toits et les façades végétalisés constituent un grand réservoir de surfaces propices au retour de la biodiversité en ville, à la capture du gaz carbonique, à la qualité de l’air, à son rafraîchissement, à l’amélioration du cadre de vie et à la gestion des eaux pluviales. 

Tous les nouveaux permis de construire d’immeubles ou bureaux ne seront délivrés qu’à la condition que ceux-ci intègrent la végétalisation des façades et des toits. 

Les règles d’urbanisme seront modifiées pour faciliter la végétalisation des bâtiments anciens.

Un appel sera lancé aux particuliers disposant d’un mur pignon donnant sur un espace public afin que ceux-ci soient végétalisés par les services municipaux.

D’ici la fin du mandat, nous nous engageons à végétaliser tous les bâtiments municipaux, y compris les écoles. 

➡ Des sentiers dans la ville

Un plan de rénovation des secteurs piétonniers sera lancé avec pour priorité la transformation des trottoirs en sentiers piétonniers , en concertation avec les habitants.

➡ Jardiner la ville

Les Clermontois seront invités à jardiner leur ville, en pied d’arbre ou d’immeuble, sur leurs balcons, dans leurs jardins ou à installer des jardins familiaux ou des jardins partagés près de leurs habitations. La municipalité s’engagera à soutenir les habitants qui souhaitent s’investir dans la fabrique d’une ville verte et durable en accompagnant les propriétaires et les particuliers volontaires.

UN CONSEIL CITOYEN ENVIRONNEMENTAL

Engager la ville dans la transition écologique est une tâche colossale car elle bouscule les standards de vie accumulés au cours des derniers siècles. Elle restera un vœu pieu si les forces vives de la société, ses actrices et acteurs citoyens, n’en font pas leur affaire. La participation est la clé du succès.

C’est pourquoi un Conseil Citoyen Environnemental sera installé. Il se saisira de chaque dossier concernant la transition écologique (végétalisation, énergie, alimentation, transports, urbanisme, logements, biodiversité, activités économiques…) et rendra ses conclusions avant toute décision du Conseil municipal. Il pourra s’autosaisir pour soumettre des propositions et des expertises.

Le Conseil Citoyen Environnemental sera composé de citoyens tirés au sort sur la liste électorale de tous les quartiers ainsi que de responsables des associations concernées. 

Il sera accompagné par un collège constitué d’experts, de représentants d’entreprises et de services compétents de la Ville.

VERS LA SOBRIÉTÉ CARBONE

Les véhicules et les bâtiments sont les principaux responsables des émissions de gaz à effet de serre en ville. Pour construire une ville sobre en émissions carbone, conformément au plan gouvernemental de la neutralité carbone en 2040, et pour permettre aux ménages de réduire leur budget énergétique, il faut transformer les modes de déplacement en la réorientant sur les transports en commun et les véhicules doux, voiture électrique ou vélo (voir notre chapitre Se déplacer autrement), développer la production d’énergies renouvelables et engager massivement la rénovation des logements.

➡ Des réseaux de chaleur et de froid

La Métropole s’est engagée à étendre les réseaux de chaleur. Cette approche est bonne et sera poursuivie. Nous intégrerons dans ce schéma le déploiement de réseaux de froid afin d’améliorer le confort d’été et réduire le développement des climatisations individuelles très gourmandes en énergie et dont les rejets de chaleur contribuent au réchauffement urbain. 

Nous travaillerons avec la Région, l’État et l’Union Européenne à la création d’un véhicule financier qui devra permettre de financer ces réseaux et d’accélérer leur mise en service.

➡ Généraliser la rénovation thermique des logements

52 000 logements sur la métropole sont des passoires thermiques. Or le rythme actuel de rénovation est de l’ordre de 200 logements accompagnés par an. Il faut donc changer d’échelle. Ce sera bon pour le climat, le budget des ménages et l’emploi local. Les fonds nécessaires seront levés via le véhicule financier évoqué dans le point précédent.

➡ Développer fortement la production d’énergies renouvelables

Avec le photovoltaïque et la géothermie peu profonde, le territoire clermontois bénéficie de gisements de production d’énergies renouvelables sous-exploités.

D’ici la fin du mandat, tous les bâtiments municipaux seront équipés de panneaux solaires avec des capacités de stockage de l’électricité pour rendre le surplus au réseau. 

Nous lancerons un plan de développement massif des énergies renouvelables en nous appuyant sur des coopératives citoyennes de production d’énergies renouvelables.

Par un financement spécifique, la Ville viendra en appui à des projets citoyens de production d’énergie propre.

➡ Un audit pour mieux réduire les gaz à effet de serre

La ville doit devenir un acteur dynamique de la bataille universelle pour stabiliser le climat. Nous la ferons entrer dans le réseau mondial des villes en transition.

Un audit de l’état des émissions de gaz à effet de serre dans la ville sera réalisé avec un cabinet spécialisé afin d’identifier précisément les principales sources d’émissions de carbone et les meilleurs moyens de s’y opposer, comme par exemple la réduction de la vitesse automobile en ville.

➡ Économiser l’énergie et réduire la pollution lumineuse

Outre une politique systématique d’économie d’énergie et un développement des sources d’approvisionnement alternatives, la ville s’engagera dans un plan de réduction de la pollution lumineuse en rationalisant l’éclairage public et en réduisant l’impact lumineux des panneaux publicitaires et des zones commerciales.

RESPIRER !

La qualité de l’air dans les villes est devenue un enjeu sanitaire majeur dans les villes. Clermont-Ferrand figure parmi les 15 métropoles de l’Hexagone qui se sont engagées auprès de l’Etat à mettre en place une Zone à Faibles Emissions (ZFE) fin 2020. Il s’agit de déterminer un périmètre dans lequel les véhicules les plus polluants seront progressivement interdits. Nous honorerons cet engagement en veillant à trouver des mesures d’accompagnement pour éviter que les populations les plus défavorisées soient particulièrement pénalisées par ce dispositif.

Le droit à respirer un air sain est un droit fondamental. Nous encouragerons au maximum la rénovation thermique des bâtiments et des logements. Nous mettrons en place des moyens pour se déplacer autrement. Nous rechercherons avec la population les solutions les plus adaptées pour que les normes en matière de qualité de l’air soient respectées et que notre territoire ne figure plus parmi les mauvais élèves.

SUS AUX DÉCHETS !

➡ Les réduire

Sous l’autorité du Conseil citoyen et environnemental, la municipalité organisera des Assises citoyennes pour l’élimination des déchets. Elles seront ouvertes aux professionnels et à un panel de citoyens tirés au sort, afin d’envisager les meilleurs moyens de réduire la production de déchets dans la ville, catégorie par catégorie, secteur par secteur.

➡ Les recycler 

Le recyclage des bio-déchets sera obligatoire dans toute l’Europe en 2025. Il convient d’amplifier cette pratique par la création de points d’apports volontaires dans tous les quartiers de la commune. 

La Ville s’engagera en outre dans un déploiement massif de composteurs individuels en direction des ménages, dont des composteurs pour balcons, pour valoriser les déchets alimentaires.

➡ Les éliminer

Les technologies de dégradation du plastique de type PET (utilisé dans les bouteilles ou les textiles) existent. Nous rechercherons la conclusion d’un partenariat avec les sociétés qui les développent et avec l’ADEME pour devenir une ville pilote dans le tri et le recyclage des déchets plastiques. 

LA NATURE DANS LA VILLE

La ville n’est pas incompatible avec la présence d’une faune et d’une flore diversifiées. La biodiversité contribue au contraire à créer un écosystème urbain naturel qui restitue gratuitement biens et services (eau, air, climat) et qui favorise le bien être des citadins.

➡ La biodiversité régulatrice de l’espace urbain

En nous appuyant sur l’expertise des associations spécialisées, nous établirons une nouvelle méthode de gestion de l’espace urbain pour le rendre favorable à l’accueil de la faune, particulièrement les oiseaux, et qu’il encourage ainsi la présence d’une diversité biologique de proximité. Tous les espaces de la ville sont concernés par cette nouvelle approche : parcs, jardins, squares et pelouses, places et rues, maisons et immeubles, balcons et terrasses, façades et toits, écoles et terrains communaux, cimetières et ronds-points.

➡ Nichoirs et abris 

La Ville installera dans tous les espaces publics relevant de sa responsabilité des abris – nichoirs et abreuvoirs – destinés à favoriser la présence des oiseaux ainsi que des abris pour insectes. Elle encouragera leur présence systématique chez les particuliers, dans les constructions neuves ou dans le bâti rénové.

➡ Développer les Espaces Naturels Sensibles (ENS)

Corridors écologiques, réseaux de petites zones humides… nous veillerons à développer un maximum d’Espaces Naturels Sensibles (ENS) sur le territoire urbain.  Nous engagerons, avec la Métropole, une réflexion pour intégrer, aux portes de l’agglomération, les 120 ha de l’Ecopôle du Val d’Allier et que celui-ci devienne un site écologique majeur.

UNE VILLE SENSIBLE AU BIEN-ETRE ANIMAL

Les animaux sont des êtres sensibles, pas des objets. Il appartient aux villes d’en prendre soin, dans le respect du vivant et de notre communauté de destin. Clermont se transformera en ville verte, solidaire et désirable en devenant aussi une ville intégrant le bien-être animal dans les choix qui relèvent de ses compétences.

  • Clermont-Ferrand interdira la présence de cirques ou de ménageries utilisant des animaux, y compris des animaux sauvages.
  • Nous veillerons à ce que progressivement l’approvisionnement des cantines municipales provienne d’unités de production respectueuses du bien-être animal, pratiquant des méthodes d’élevage alternatives. 
  • Chaque jour, les usagers des cantines pourront choisir un menu végétarien s’ils le désirent.
  • Nous engagerons une campagne de stérilisation des chats errants en coopération avec les associations
  • Un membre du conseil municipal sera chargé de veiller à la protection animale dans le cadre de la politique de la ville.

UNE ALIMENTATION CHOISIE

Les cantines qui relèvent de l’administration municipale, en particulier celles des écoles, ont un rôle essentiel à tenir pour favoriser la santé des consommateurs, encourager l’agriculture de proximité et l’alimentation bio, réduire l’empreinte carbone des consommateurs.

➡ Objectif 90% d’aliments bio ou issus de circuits courts 

Des efforts conséquents ont déjà été réalisés pour améliorer le menu des cantines. En lien avec le Plan Alimentaire Territorial porté par le Grand Clermont et le Parc Naturel Régional Livradois-Forez nous nous engageons à atteindre les 90% d’aliments issus de l’agriculture biologique ou de circuits courts avant la fin du mandat. 

Par ailleurs, nous nous orienterons vers une réduction progressive des contenants alimentaires en plastique dans les écoles publiques.

➡ Un repas alternatif végétarien à chaque repas

Chaque jour les repas des cantines offriront, d’ici la fin du mandat, la possibilité de choisir un menu alternatif végétarien.

Une politique foncière pour constituer une ceinture maraîchère 

La métropole clermontoise ne dispose pas d’une ceinture maraîchère lui permettant une relative autonomie alimentaire et un approvisionnement de proximité. Nous lancerons donc une politique d’acquisitions foncières sur des terrains agricoles que nous concéderons à des fins d’exploitation maraîchère, soit à des exploitants privés, soit à des associations de type fermes urbaines. 

➡ Marchés de proximité et jardins partagés

Nous soutiendrons également la mise en place de circuits courts développant la vente directe des producteurs aux consommateurs de la ville, en favorisant particulièrement l’ouverture de marchés de proximité et l’installation de jardins partagés. Nous étudierons la possibilité d’ouvrir en ville, à Saint Joseph par exemple, un marché quotidien de producteurs bio et locaux.

UNE MUNICIPALITÉ ENGAGÉE

La transition écologique sera notre priorité. Elle nécessite un portage politique fort pour mobiliser les différents services de l’administration et veiller à ce que, dans tous les domaines, les choix soient compatibles avec les objectifs d’un développement soutenable de la ville.

➡ Un adjoint spécial à l’écologie 

Outre la constitution d’un Conseil citoyen et environnemental qui sera saisi avant toute décision majeure, la nouvelle municipalité créera un poste d’adjoint à l’écologie. Il sera doté de prérogatives spéciales et transversales, en particulier sur l’urbanisme, le logement et les transports. Il sera assisté d’un responsable à la résilience afin que la politique écologique ne reste pas morcelée ou cantonnée à un secteur.

➡ Une administration qui montre l’exemple

L’administration municipale devra modifier son fonctionnement pour incarner la transition écologique de la ville. 

Un Plan Administration Exemplaire, co-écrit avec les agents, sera adopté sur le modèle de ceux déjà en vigueur pour les services de l’État. 

La Ville n’achètera aucun véhicule utilitaire léger qui ne soit pas électrique ou à hydrogène.  Lors de leur renouvellement, les contrats de prestation comme le ramassage des ordures comporteront des obligations écologiques (utilisation de véhicules électriques ou à hydrogène).

La Ville demandera au SMTC de verdir l’intégralité de sa flotte de façon à ce qu’aucun bus diésel ne circule dans le périmètre de la métropole et qu’ils soient remplacés par des bus GNV ou électriques.

➡ Des jumelages internationaux

Nous formaliserons le jumelage de Clermont-Ferrand avec des villes européennes ou d’autres continents engagés dans une démarche Ville Verte, avec l’objectif de mutualiser les pratiques et de développer des projets communs.

➡ Soutien accru aux associations 

La recherche de l’engagement des citoyens en faveur de l’environnement doit s’appuyer sur la mise en œuvre de partenariats solides avec les associations et se concrétiser par des relations fondées sur le contrat, la transparence et l’évaluation. Clermont-Ferrand a la chance de compter un tissu associatif dense. De très nombreuses associations accompagnent, diversifient et enrichissent l’action publique dans les domaines de la protection de la nature, de la biodiversité, de la transition énergétique, des déchets, de la mobilité, des transports, de la prévention des risques ou de l’éducation au développement durable. Ces associations verront leurs financements pérennisés à travers la signature de partenariats ambitieux.

➡ Une Maison de la Nature et de l’Ecologie 

Dans un bâtiment végétalisé, la Ville mettra des locaux à disposition des associations développant une action ou des services en faveur de la transformation écologique. Vitrine de Clermont-Ville Verte, cette Maison de la Nature et de l’Ecologie sera gérée paritairement par la Ville et les participants.

La publication a un commentaire

  1. DUPUY Michel

    Bonjour et merci à toute l’équipe d’Eric pour leur approche de notre ville future. Leurs analyses et leurs propositions sont pragmatiques, vont dans la bonne direction et sont rassurantes pour notre vie urbaine future. Maintenant nous devons convaincre et faire accepter ce programme auprès de la population clermontoise. Population très politisée et manipulée par la LFI.
    Merci encore à Éric et à son équipe pour cet excellent travail. J’espère pouvoir vous rejoindre pour travailler avec vous si la santé de ma femme s’améliore. A très bientôt . Très cordialement

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